dimanche 11 mai 2014

Île de Porquerolles: Chronique # 2

Hello les demoiselles et damoiseaux,

J'ai entendu vos appels dans ma tête, alors je vais y répondre en vous donnant la suite ou le début de nos aventures: Durant le trajet pour nous rendre à Porquerolles, nous nous sommes installées le plus confortablement possible mais des sièges inclinables pour dormir ce n'est pas ce qu'il y a de mieux. Dès que nous sommes montées dans le train, le chauffeur a tamisé les lumières. Comme nous avions des billets qui étaient contraire au sens de la marche, j'ai demandé à un contrôleur de changer de place cela nous a été accordées. Nous voilà dans le bon sens, ouf, car sinon j'aurai été malade. Je fais attention à nous installer dans un endroit ou nous dérangerons personne car nous sommes très bavardes.  
Gribouillie et moi discutons de la pluie et du beau temps, je dis beaucoup de bêtises alors forcement nous rigolons, mais par respect pour les gens nous étouffons nos ricanements . Un homme âgé nous interpelle "Bon ça suffit maintenant, les lumières sont éteintes, c'est l'heure de dormir" il est 22h30 nous sommes dans le train depuis une heure. N'ayant pas ma langue dans ma poche, j'explique poliment au charmant monsieur, que le train vient juste de partir et quand plus nous faisons attention à ne pas faire de bruit. Un autre monsieur plus jeune s'en mêle et prend notre défense: "Vous en avez pas marre d'ennuyer le monde? Depuis tout à l'heure vous n'arrêtez pas de râler. C'est vous qui nous cassez les pieds". Après de petits râlements, tout le monde se calme. Cécé et moi reprenons nos conversations (tout doucement) pour nous endormir vers minuit. Durant le trajet je ne cesse de me réveiller sans doute l'enthousiasme et mon empressement.
Nous arrivons à Toulon à 6h35. En attendant notre correspondance, un café et un chocolat chaud des brioches seront notre réconfort car la nuit a été courte. Après 30 minutes de train nous voilà à Hyères, il faut trouver l'arrêt de bus maintenant le numéro 65, heureusement il n'est pas loin et nous n'avons que 15 minutes à attendre. Le bus arrive à l'heure et nous devons descendre à la Tour Fondue pour prendre le Ferri qui nous emmènera sur l'île de nos rêvés profiter de nos vacances tant attendues.

Je vous laisse regarder:

dimanche 4 mai 2014

Ile de Porquerolles - Chroniques #1

Bonjour à tous et toutes,

Désolée pour ce long silence, la vie m'a rattrapée. Dans l'ensemble je vais bien, de nouvelles perspectives professionnelles, un long week-end ensoleillé sur une île paradisiaque. Des indices pour trouver de celle dont il s'agit: 

elle se trouve dans le sud de la France 
elle a une superficie de 12,54km²
son code postale est le 83(département du Var)
j'y suis allée avec Gribouillie 

Je suis sur que vous avez deviné: il s'agissait de l’Île de Porquerolles. Je suis partie vendredi soir à 21h20 (car pour Cécé alias Gribouillie le trajet a été plus long)  et nous sommes arrivées ensemble sur l'île samedi à 9H30. Le trajet a été long mais agréable. Nous nous sommes rendues dans notre lieu d'hébergement mais la chambre n'était pas encore prête donc nous sommes allées directement au bord de la mer à la pointe du Bearlieu. Pourquoi attendre quand le temps nous est compté?!

Je n'ai jamais vu une eau aussi claire et d'un si beau bleu (turquoise). Le soleil était au rendez-vous mais pas trop présent par contre le vent à beaucoup soufflé cela nous a permis de faire de belles balades en vélo. Les chemins sont ardus mais grâce à nos efforts nous avons pu admirer de magnifiques paysages. Les chemins de cette île sont périlleux: des trous, des bosses, des montés à plus de 15°comme les descentes, des cailloux et des roches. Le sport nous l'avons pratiqué mais heureusement car nous avons beaucoup mangé. 

La suite au prochain rendez-vous.  

Je vous laisse admirer: 








En mode sportive, profitez cela est rarissime 
Crédit photo: Gribouillie